Forme

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Vidéo en anglais seulement.

[vc_separator type=»transparent» position=»center»][vc_column width=»1/2″] [vc_text_separator title=»FORME (CONSCIENCE ESTHÉTIQUE)» title_align=»separator_align_center» border=»no»][vc_column_text]

On peut analyser, enseigner et évaluer un mouvement du point de vue du perfectionnement de la forme corporelle extérieure, par exemple, la forme et le parcours d’un mouvement (tel que détaillé, en anglais, par Laban et Lawrence, 1974; Laban, 1948; Laban, 1975) pouvant être exécutés grâce aux capacités fonctionnelles de base. La Forme du mouvement peut être initialement interprétée comme étant la base des habiletés motrices – celles de la motricité, de la stabilité et de la manipulation. Ces compétences peuvent être réduites à des techniques telles que sauter sur une distance et atterrir pour préserver la distance, se tenir en équilibre sur ses mains (ce mouvement est aussi connu sous le terme « faire le poirier ») puis rouler vers l’avant, ou bien faire une passe au niveau de la poitrine avec un ballon de basket. Cependant, une action habile repose essentiellement sur la capacité d’exécuter un mouvement ou une séquence de mouvements dans un contexte d’activité particulier. De ce fait, on pourrait également s’atteler sur la Forme dans la mesure où elle s’applique au jeu ou à l’activité. La résilience de la surface du tapis invite à faire le poirier et amortit le roulement. Les mouvements des joueurs sur le terrain de basket suggèrent l’opportunité d’une passe.

Cependant, tandis que les références contextuelles envers les capacités de mouvement impliquaient traditionnellement uniquement les environnements construits tels que les gymnases, les studios, les courts intérieurs et extérieurs et les terrains de jeu, l’inclusion d’activités alternatives induit une gamme beaucoup plus large de contextes d’activités. Comme le souligne Margaret Whitehead: Les enfants doivent apprendre à maîtriser les « phénomènes du monde naturel » tels que « la gravité, l’inclinaison, les objets fixes et en mouvement, et l’eau » ([traduction libre] Whitehead, 2001). Cet éventail de contextes suggère alors, non seulement l’application d’habiletés fondamentales du mouvement à des jeux et des sports particuliers, à la gymnastique, à la danse et aux activités alternatives, mais aussi l’exploration des capacités de mouvement qui pourraient bien être constitutives de formes d’activités nouvelles.

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[vc_column width=»1/2″][vc_text_separator title=»L’ANALYSE DE LA FORME» title_align=»separator_align_center» border=»no»]

Lorsque vous vivez une activité physique courante ou alternative, vous pouvez utiliser les questions incitatives suivantes pour raffiner la forme des mouvements :

  • Quelles formes/positions corporelles rendent votre activité plus facile/difficile?
  • Pensez à votre corps, de la tête aux pieds, en portant une attention particulière aux points de repère osseux tels que l’épaule, le coude, le poignet, la hanche, le genou et la cheville, et décrivez en détail la position où vous voudriez positionner chacune de ses parties du corps lors de chaque phase (au commencement, au milieu et à la fin) de votre mouvement.
  • Quels repères/conseils positionnelles pourriez-vous dire à un pair pour qu’il soit en mesure d’améliorer leur performance?
  • Comment votre forme corporelle s’adapte-t-elle aux différents conditions et environnements dans lesquels votre activité est vécue (différentes surfaces, conditions météorologiques, objets, équipements, etc.)?
  • Comment l’affinage du positionnement du corps dans cette activité pourrait-il être transféré à d’autres activités physiques?

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Troisième étape: La Sensation